Surveiller la santé de la faune sauvage pour mieux gérer la santé animale
Faune sauvage et animaux de rente se côtoient régulièrement. Le travail de nombreux réseaux de chercheurs et de spécialistes réside en la surveillance et la détection des maladies pouvant circuler d’une espèce à l’autre. Un thème largement abordé lors de la table ronde de l’assemblée générale du GDMA.
Faune sauvage et animaux de rente se côtoient régulièrement. Le travail de nombreux réseaux de chercheurs et de spécialistes réside en la surveillance et la détection des maladies pouvant circuler d’une espèce à l’autre. Un thème largement abordé lors de la table ronde de l’assemblée générale du GDMA.
Al’occasion de la 70e assemblée générale du groupement de défense contre les maladies des animaux (GDMA) de l’Indre, le 28 mars, l’ensemble des présidents de section sont revenus sur la situation sanitaire de chaque type d’élevage. En effet, avec la recrudescence de certaines maladies, le GDMA est très mobilisé et l’impact clinique est important. « Entre la MHE et les types de FCO, la situation est fragile, sans oublier que la tuberculose reste inquiétante notamment pour conserver le statut indemne de notre territoire », précise Christophe Moulin, président du GDMA. La table ronde, qui a suivi, avait pour thème la surveillance de la faune sauvage pour mieux gérer la santé des animaux sauvage et d’élevage.