La proximité grâce aux antennes locales de la chambre d’agriculture
Une des missions de la chambre d’agriculture de l’Indre est d’être sur le terrain afin de répondre aux agriculteurs. Pour cela, les trois antennes délocalisées proposent des services dans chaque secteur.
Une des missions de la chambre d’agriculture de l’Indre est d’être sur le terrain afin de répondre aux agriculteurs. Pour cela, les trois antennes délocalisées proposent des services dans chaque secteur.
Au Blanc, à La Châtre, à Ecueillé, les trois antennes de la chambre d’agriculture de l’Indre ont des rôles essentiels. Elles sont garantes de conseils et de réponses au plus près du terrain, au plus près des agriculteurs.
DES SERVICES COMPLETS DÉLOCALISÉS
Au sein de chaque antenne, des conseillers sont présents pour permettre aux agriculteurs de se référer à un membre de la chambre sans être obligés d’aller à Châteauroux. Au Blanc, Jean-Luc Roy, conseiller et animateur de l’appellation pouligny-saint-pierre et des MAE offre également un appui pour le projet initiative Brenne. Adeline Gibault, apporte ses conseils en tant que conseillère en entreprise et Florentin Maderolles, conseiller en biodiversité, suit également les MAE. Tous les trois sont en charge par ailleurs des dossiers Pac. A La Châtre, Laura Barbonnais, conseillère bovin viande est animatrice des MAE et du groupe de développement en Boischaut sud. Les conseils d’entreprise et d’installation sont dispensés par Ludivine Martinet et pour la transmission, Estelle Paillard répond aux exploitants. L’antenne de La Châtre peut également accueillir des échantillons de fourrage que Laura Barbonnais analyse lorsqu’elle se rend à Châteauroux. Enfin, à Ecueillé Alain Aufrère, conseiller en entreprise, accompagne les projets des jeunes agriculteurs. Il a également la charge de l’animation de la MAE Chabris. Sur l’antenne, il travaille avec Caroline Baumgarten en charge des dossiers PAC, de la diversification des projets, du logiciel MesParcelles. Eloïce Moisset, conseillère productions végétales, anime les groupes de développement Dephy et CETA, ainsi que les MAEC. Le bureau d’Ecueillé traite également les déclarations Pac. Chacune des antennes souhaite rester ancrée dans son territoire afin de coller aux problématiques qui lui sont propres.
IMPORTANCE DE LA PROXIMITÉ
Le mot d’ordre est la proximité. « Nous sommes beaucoup sur le terrain. C’est la première mission de notre métier », témoigne Laura Barbonnais de l’antenne de La Châtre. « Il faut répondre aux questions des agriculteurs sur le territoire, au plus près et le plus rapidement possible », insiste Caroline Baumgarten, conseillère à Ecueillé. L’ensemble des conseillers souhaite conserver ces antennes, symboles de leur implication localement et de leurs connaissances des problématiques inhérentes. « Le fait d’être présent sur le terrain permet de se rendre sur place plus facilement, de discuter plus rapidement avec les agriculteurs et de répondre plus vite et mieux à leurs attentes », ajoutent-t-elles. Le lien entre les antennes et le siège à Châteauroux est très important, où les informations du terrain remontent. Un dynamisme et une synergie se créent rapidement entre l’ensemble des service de la chambre et les groupes de développement. Alain Aufrère note également que « les expériences des conseillers se complètent et créer du lien entre les différents services, les antennes et le siège à Châteauroux ». « Il est primordial de conserver les antennes délocalisées. Le potentiel sur notre territoire est non négligeable, chaque secteur est très différent. C’est pourquoi avoir des conseillers spécialisés sur chacun d’entre eux est essentiel », conclut Séverine Van Hasselaar, élue référente pour l’antenne d’Ecueillé